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Recrutement et formation initiale des PLP : le ministère réforme en force pour l’affaiblir !

La ministre Elisabeth Borne refuse de présenter le texte relatif à la réforme de la formation initiale en CSA ministériel, instance de dialogue social. Le SNUEP et la FSU dénoncent ce déni de démocratie sociale !

Après avoir annoncé les grandes lignes de la réforme de la formation initiale et du recrutement des enseignant·es et des CPE d’abord devant la presse le vendredi 28 mars, le ministère a enfin organisé une présentation de la réforme aux organisations syndicales, ce mercredi 2 avril, ainsi qu’une proposition de calendrier avec 4 groupes de travail en quelques semaines…et ce, à 5 mois de la rentrée et de la mise en œuvre de la réforme !

Elisabeth Borne a fait le choix de reprendre la réforme initiée par Nicole Belloubet au printemps 2024, synonyme de déqualification du métier de PLP et de réduction des possibilités d’être candidat·e au CAPLP notamment pour les spécialités professionnelles. Avec cette réforme, le ministère ajoute une pierre pour mettre fin à l’enseignement professionnel par des enseignant·es titulaires et formé·es.

Le SNUEP-FSU alerte sur les menaces que fait peser cette réforme sur le statut des PLP. Pour la majorité des disciplines professionnelles, les nouvelles conditions d’inscription imposent un passage quasi obligé par un statut contractuel, ainsi qu’un engagement de quatre ans, quel que soit le mode d’accès qui risque de dissuader fortement les candidat·es et de fragiliser davantage l’attractivité du métier.

Déni de démocratie !

Une large intersyndicale (FSU, FO, CGT Educ’action, SNALC, SUD Education) a interpellé la ministre d’Etat pour exiger le respect de la démocratie sociale en présentant le texte devant un CSA ministériel. En effet, depuis quelques semaines, le ministère souffle le chaud et le froid : annonce d’un CSA, puis recul et flou entretenu sur les intentions de la ministre. Le DGRH a fini par abattre ses cartes lors de la réunion du 2 avril : le décret actant cette réforme va être transmis au Conseil d’Etat le 8 avril et sera publié le 15 avril. Sans discussion, ni consultation en CSA ministériel, lieu d’exercice de la démocratie sociale, où peuvent pourtant s’exprimer les organisations syndicales représentatives ! Le ministère estime que le CSA du 27 juin dernier suffit, alors qu’il s’est tenu dans un contexte politique pour le moins particulier et où seules deux organisations étaient restées jusqu’au vote du décret… malgré le fait que le projet final de décret n’avait pas été transmis avant l’instance, empêchant son analyse fine et toute proposition des syndicats.

La FSU a une nouvelle fois dénoncé ces méthodes inacceptables et qui rappellent, d’une certaine manière, les passages en force d’Elisabeth Borne, par 49.3, lorsqu’elle était à Matignon…alors même que la ministre avait su prendre la mesure de certaines des exigences des organisations syndicales, notamment des syndicats de la FSU sur l’EVARS ou une partie du Choc des savoirs. La FSU a fait alors le choix de quitter la réunion du jour pour dénoncer le mépris ministériel pour la démocratie sociale. D’autres organisations syndicales ont fait le même choix : FO, la CGT Educ’action, le SNALC et SUD Education.

La ministre ne peut ignorer la nécessité de faire vivre la démocratie sociale, dans un secteur qui a été tant malmené par les derniers ministres.